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Merci pour vos opinions Vincent et Caroline. Comme je l’indiquais dans le texte joint à mon message original, je me suis questionné initialement sur l’impact de la rédaction de rapports courts sur l’enseignement. Néanmoins, je demeure persuadé qu’il est tout aussi important que les étudiants développent une bonne efficacité dans la synthèse et la communication des résultats. Je ne crois pas que l’on rende service ni à nos étudiants ni à nos patients en perpétuant un style de rédaction peu adapté au rythme de la pratique médicale ou au besoin de nos référents. Il demeure que le choix d’abréger les rapports dépend de votre contexte de travail et des besoins de vos référents et équipes de travail. Je vous invite d’ailleurs à solliciter du feedback sur vos rapports et à valider avec vos collègues si vos rapports (brefs ou longs) répondent bien à leurs attentes.
Pour les étudiants, je mise toujours sur le consentement libre et éclairé en mentionnant mon style de rapport lors des entrevues. Ainsi, si l’étudiant souhaite développer des habiletés pour une rédaction de rapport exhaustifs (ex.: envisage une pratique en expertise), ils choisiront d’aller vers un autre superviseur. Toutefois, je ne suis pas fermé à l’idée de superviser une rédaction de qq rapports exhaustifs en cours de stage, mais le recours aux rapports brefs sera nécessairement privilégié dans le cadre de ma pratique.