• Frédérique Escudier

    Membre
    9 décembre 2013 à 20 h 24 min

    @/index.php?/profile/38-claudine-boulet/” data-ipsHover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/38-claudine-boulet/&do=hovercard” data-mentionid=”38″ rel=””>@Claudine Boulet. Effectivement, pour moi aussi c’est rare que je remette la crédibilité de mes étudiants en doute. Je pense avoir beaucoup moins de simulateurs que ce qui est dans les statistiques parce tous mes clients passent d’abord par la conseillère d’orientation (formée en troubles d’apprentissages/TDAH) et souvent par une orthopédague avant d’arriver à moi. QQ uns ont eu des suivis avec l’orthopédagogue avant que je les vois et la conseillère d’orientation récupère et me donne une liste de documents pour chaque étudiant : Conners remplit par un des parents (en fait en écrivant ça là, je me dis qu’un simulateur ne verrait pas comme un problème de remplir le Conners à la place de ses parents… c’est rare que je parle de vive voix aux parents), tous les bulletins depuis la première année du primaire jusqu’à l’université, les rapports des évals antérieures. Je demande en plus à l’étudiant des exemples de travaux universitaires qu’il a rendu. Alors peut être que les simulateurs abandonnent leurs démarches en cours de processus avant d’arriver à moi.

     

    Même si ça m’arrive rarement, ça m’est déjà arrivé de douter et je m’étais trouvée un peu démunie.

    Ça ne m’est pas arrivée depuis que j’ai découvert le b-test (je travaille juste 1 jour/semaine à l’UQAM), alors je ne l’ai pas encore utilisé, mais je reviendrai donner mes impressions quand je l’utiliserai.

    Tu peux regarder l’article de Jasinski, ils avaient uilisé le b-test dans leur batterie