• Simon Lemay

    Membre
    26 octobre 2013 à 22 h 27 min

    Melanie. La plupart du temps je me contente d’animaux. Je trouvais que la catégorie “prénoms masculins” du DKEFS apportait peu (parfois des résultats discordants) et donc je l’ai rapidement abandonné. Par conséquent, je me rabattais vers d’autres normes pour la condition sémantique.

    Jusqu’à récemment, je continuais à utiliser les normes du DKEFS pour PFL lorsque je le faisais au complet. Souvent quand l’atteinte est évidente, j’arrêtais après la 2e lettre (permet de voir parfois des pertes de fil par interférence de la première lettre) ou même après une seule lettre quand le résultat est particulièrement pauvre.

    Pour le choix des lettres, comme le mentionnais Frédérique, je n’ai pas vu non plus d’étude qui comparait l’équivalence anglais-français (ex.: nombre de mots qui commence par la lettre dans chaque langue).

    Pour l’alternance, il m’est arrivé de le faire occasionnellement chez les patients avec un bon niveau de fonctionnement afin de les challenger un peu plus (sollicite plus la MdeT, flexibilité).

    Il y a aussi la fluidité de verbes (action fluency) qui est supposée être plus sensible aux atteintes frontales (Wood, 2005). Je ne l’ai pas beaucoup utilisé à date. Qq’un l’a-t-il utilisée plus régulièrement?

     

    Bref, j’utilise ces temps-ci: P,T (et parfois L lorsque je me sens vaillant ou résultat pas clair) avec animaux sur 2 minutes avec les normes de IUGM. Il est fort probable que j’essaye aussi les légumes comme le suggérait Caroline. Il est pas mal certain que je ne prendrai pas 12 minutes d’éval seulement pour la fluidité (3 lettres+3sémant) pcq pas sûr que ce soit cliniquement “rentable” (infos obtenues vs temps consacré).