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@/index.php?/profile/208-carolinelarocque/” data-ipsHover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/208-carolinelarocque/&do=hovercard” data-mentionid=”208″ rel=””>@caroline.larocque Je n’irais pas jusqu’à dire que le BVMT-R évalue la mémoire verbale, mais on ne peut nier effectivement la contribution verbale dans ce test étant donné que les stimuli présentés sont facilement verbalisables.
Dans mon cas de démence sémantique (voir le/index.php?/topic/137-la-d%C3%A9mence-s%C3%A9mantique/” rel=””> post de Dominique), le patient avait aussi de sévères atteintes au BVMT-R, mais présentait une atteinte frontale et une agnosie associative contributive (évolution plus avancée). Je suis d’accord que s’il n’y a pas de problème visuo-perceptuel, le DMS-48 devrait être mieux réussi bien qu’encore difficile de présumer que l’atteinte sémantique ne perturbe absolument pas la qualité de l’encodage (difficile d’exclure une contribution verbale pour tous nos tests de mémoire visuospatiale).