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Étiquetté : titre emploi
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Titre d’emploi de neuropsychologue
Posted by Christine Ouellet on 17 décembre 2013 à 2 h 37 minBonjour,
est-ce que plusieurs d’entre vous avez signé la demande de création d’un titre d’emploi de neuropsychologue envoyée récemment par vos syndicats, qui est en fait une démarche initiée il y a quelques années par un petit groupe de neuropsychologues?
Jacinthe Lacombe répondu Il y a 2 années, 11 mois 14 Membres · 31 Réponses -
31 Réponses
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Je n’ai rien reçu non plus de la part de mon syndicat…
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Anonyme
Invité5 janvier 2014 à 18 h 51 minMoi non plus.
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Quelques brèves explications suite à une question concernant la création du titre d’emploi de neuropsychologue. Il s’agit d’une démarche initiée il y a quelques années déjà par quelques collègues neuropsy. La démarche visait à refaire le calcul des différents paramètres de notre profession, pour voir notamment si nous arrivions au même rangement salarial que les psychologues. La création d’un titre distinct est également justifié étant donné la spécificité de nos tâches et en lien avec l’affichage des postes.
Des neuropsychologues de différents milieux ont été appelés à participer à ces démarches, ainsi que les centrales syndicales.
À l’IUSMM, les neuropsychologues ont reçu récemment un document résumant ces travaux et nous avons été informés qu’il nous était possible de signer le document pour appuyer la demande. Nonobstant le nombre de signataires, la demande sera tout de même déposée au ministère.
Normalement, les représentants syndicaux de chaque établissement devraient être au courant de ces travaux. J’imagine qu’il est possible de s’informer auprès d’eux pour obtenir davantage de renseignements et avoir en main les documents.
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Anonyme
Invité10 janvier 2014 à 16 h 36 minJe n’ai rien eu moi non plus! Filtrage y a-t-il…
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J’imagine que ça ne sera envoyé directement par les syndicats que pour ceux qui sont syndiqués avec la CSN ?
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Anonyme
Invité13 janvier 2014 à 17 h 53 minLa direction de l’Hôpital Rivière-des-Prairies voyait d’un bon oeil la démarche pour l’ajout du titre de neuropsychologue (sans question salariale) et a envoyé à l’automne dernier la demande de modification à la Nomenclature des titres d’emploi au Ministère. Cette demande comprenait un document détaillé décrivant le travail du neuropsychologue et ses différences avec le travail du psychologue.
Le Ministère a répondu le 18 novembre ne pas pouvoir accéder à la demande puisque les attributions principales décrites se retrouvent dans le titre d’emploi de psychologue et que ”le MSSS juge qu’il n’y a pas nécessité de créer de spécialité dans la mesure où un titre d’emploi existant peut répondre aux besoins des établissements”. Il semble donc que le dossier soit clos pour l’instant.
Il serait intéressant de savoir si d’autres milieux ont fait la démarche et de continuer à réfléchir à la nécessité de ce titre d’emploi.
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Réponse tardive, mais réponse tout de même…
Je suis la neuropsy qui a initié cette démarche de création de titre d’emploi à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont avec ma collègue Annie Dufresne. Les RH nous ont appuyé. Le ministère m’a envoyé un accusé de réception , mais je n’ai jamais pas eu de réponse à l’effet que cette demande était refusée. Je suis donc étonnée de lire le message précédent ! Je crois que j’en aurais été informée de même que mon syndicat (FSSS).
De fait, il s’écoulera probablement quelques années avant que le ministeère bouge dans ce dossier à moins que les syndicats décident d’en faire un objet de négo…
J’ai demandé à l’AQNP de mettre au courant les membres de cette démarche et de m’appuyer en diffusant le formulaire afin que d’autres neuropsy le complète. Or, à ma grande déception, le CA a refusé s’inquiétant que l’emploi soit moins bien évalué que le titre de psychologue. Si vous êtes intéressés. Écrivez-moi : pasdemer@gmail.com
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Bon matin, et bonne année.
J’aimerais simplement préciser suite au commentaire de @/index.php?/profile/153-pascaledemers/” data-ipshover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/153-pascaledemers/&do=hovercard” data-mentionid=”153″ rel=””>@pascale.demers que bien que le CA ait effectivement décidé de ne pas participer officiellement à cette démarche, la discussion a été longue lors de deux CA (mai et décembre 2013), et la décision n’a pas été prise à la légère, ni uniquement en lien avec le seul point mentionné.
Il y a évidemment des avantages potentiels à créer notre propre titre d’emploi, mais au moins trois points négatifs potentiels avaient été identifiés, et suite aux discussions qui ont eu lieu lors de ces deux réunions, les administrateurs ont décidé à l’unanimité que l’AQNP demeurerait neutre… pour l’instant.
Ceci dit, certains administrateurs étaient “pour” une participation au plan personnel, et certains ont même proposé d’encourager à titre personnel la participation à cette démarche. J’ai d’ailleurs participé moi-même à cette démarche en 2010 en remplissant un “Questionnaire d’enquête” de 38 pages après une rencontre au siège social de la CSN sous la supervision de Laurier Goulet (VP – Catégorie 4), mais les enjeux ne sont pas les mêmes pour des individus et pour une association.
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En passant selon le PV, les points négatifs potentiels identifiés étaient les suivants (les explications entre parenthèses sont de moi):
- conflit possible avec les autres psychologues (les neuropsychologues pratiquant aussi en psychologie clinique auraient-ils à choisir entre les deux titres d’emploi? et surtout, advenant l’attribution d’un rangement salarial supérieur, ceci raviverait-il les tensions avec les autres psychologues?)
- impact négatif possible au plan du salaire qui sera nécessairement réévalué (le MSSS repart à zéro lors de la création d’un titre d’emploi et bien que la CSN jugeait que nous pourrions être coté légèrement au-dessus des autres psychologues en raison de certaines des 17 sous-facteurs, il est tout à fait possible que le même rangement soit attribué, et il est aussi tout à fait possible qu’un rangement inférieur soit attribué)
- impact négatif possible sur la prime d’attraction-rétention (cette prime a été attribuée aux psychologues du MSSS qui y travaillent 4j ou 5j/sem, et rien ne garantit qu’elle aurait été/serait appliquée aussi aux neuropsychologues, surtout dans le contexte budgétaire actuel)
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Si le ministère interpelle l’AQNP lors de l’étude de la demande, l’exécutif devrait, à tout le moins, ne pas décider pour les membres de la position à adopter, mais devrait les consulter.
En passant, il y a plein d’affichage de postes de neuropsychologues et à ce que je sache les neuropsy pratiquent tout de même la psychologie et demeurent à la base des psychologues. De la même façon le fait d’avoir un titre d’infirmière praticienne n’élimine pas le fait d’être infirmière….
Pour le reste, s’abstenir de défendre un titre de neuropsy pour ne pas créer de remous auprès des psychologues ou par crainte de perdre une prime qui n’existera peut-être plus un jour, m’apparaît une façon pour le moins frileuse de défendre les intérêts des neuropsy. Comme on dit on ne fait pas d’omelettes sans casser des oeufs…. mais bon…
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La CA valorise un fonctionnement démocratique et pourra se pencher à nouveau sur la nécessité de consulter nos membres à ce propos. Si tu le désires @/index.php?/profile/153-pascaledemers/” data-ipsHover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/153-pascaledemers/&do=hovercard” data-mentionid=”153″ rel=””>@pascale.demers, je pourrai proposer à une prochaine réunion du CA la possibilité que tu puisses venir présenter ce dossier et ton argumentaire.
Le statu quo d’ici la fin de la prime m’apparaît une idée plutôt sage parce que n’importe quelle raison pour ne pas payer une rémunération supplémentaire est bonne pour nos gestionnaires. Vous en parlerez aux cadres qui sont supposés avoir une compensation en lien avec la prime. Or, comme ceci n’a pas été prévu spécifiquement dans la circulaire du ministère, plusieurs n’ont pas reçu d’ajustement salarial depuis l’ajout de la prime. Remarque qu’il est fort possible que la prime cesse d’ici quelques mois: austérité oblige…
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Merci beaucoup @/index.php?/profile/153-pascaledemers/” data-ipshover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/153-pascaledemers/&do=hovercard” data-mentionid=”153″ rel=””>@pascale.demers de m’avoir transmis votre formulaire. Je l’ai lu avec grand intérêt, et il y a visiblement beaucoup de travail là-dessous ! J’en ai informé notre représentante syndicale, qui n’en avait pas été informée (nous sommes avec l’APTS).
Je considère quand même qu’il faut être prudent dans cette démarche, qui m’apparaît présenter certains avantages potentiels, mais aussi un risque de dérapage. Le fait que certains neuropsy soient autorisés à pratiquer au coeur du champ d’activité des psychologues en faisant de la psychothérapie, alors que les psychologues psychothérapeutes ne peuvent pas faire l’inverse, induit déjà des questionnements sérieux dans certains milieux, et complexifie la gestion et l’attribution des postes (dont le ‘bumpage’.. en cette ère de fusions…). En effet, de nombreux neuropsy pratiquent la psychothérapie de façon très compétente auprès d’une clientèle ciblée (comme les neuropsy en réadaptation dans les programmes de neurotraumato) alors que les psychologues ne sont pas autorisés à faire d’évaluations neuropsy, même s’ils ont été initiés aux bases de la pratique dans leur formation ou leurs expériences. Il ne s’agit donc pas de 2 professions si distinctes, mais bien d’un chevauchement imparfait entre 2 champs d’activité.
Et le risque d’être restreint à une étiquette de ‘neuropsychologue’ pourrait donner des frissons à certains neuropsy qui ont des aspirations professionnelles en lien avec la psychothérapie, qui pourraient ainsi se voir éventuellement refuser le fait d’appliquer sur un poste de ‘psychologue’. Bref, je comprends que l’AQNP soit hésitante à se prononcer. Et je crois que la pertinence de la démarche dépendra beaucoup de son issue et des répercussions potentielles, à bien mesurer au préalable.
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À la base, il s’agit d’officialiser une pratique officieuse … Vous remarquerez qu’il y a de plus en plus d’affichages de postes de neuropsychologue et paradoxalement le titre n’existe pas dans les conventions collectives… Je ne crois pas que ceux qui postulent sur ces postes se voient retirer le droit de faire de la psychothérapie. Le neuropsy demeurera toujours un psy à la base… il s’agit tout simplement d’une spécialisation.
En passant, la FSSS m’a informé que cette demande de titre d’emploi fera partie de la prochaine négo. J’aimerais bien que les membres de l’AQNP en soit informés via le bulletin.
Pascale
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Je ne sais pas si c’est de source sûre (je vais vérifier), mais on m’a dit la semaine dernière que la prime de 12% pour le temps plein cessera incessamment.
Par ailleurs, je trouve très intéressante cette discussion sur notre identité professionnelle; ça me me fait penser à un stade de développement de la personnalité dans un processus de maturation psychique. Suis-je ou ne suis-je pas, telle est la question… La profession est encore jeune…
Pistes de réflexion :
– les psychiatres se posent-ils la question s’ils sont medecins ou pas?
– les travailleuse sociales accrédités par l’OPQ pour faire de la psychothérapie sont-elles restreintes dans leur travail, ou au contraire ne voient-elles pas s’élargir leur potentiel d’intervention?
– enfin, faut quand-même être conséquents : nous sommes prêts à publier un dépliant publicitaire
avec le slogan “EXIGEZ UN NEUROPSYCHOLOGUE” sans être convaincus que l’on mérite d’officialiser ce titre d’emploi???
Nous avons été assez matures comme groupe professionnel pour nous former une Association; le sommes nous suffisamment pour affronter des “risques”? Je propose que la réponse vienne du vote des membres en AGA.
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Anonyme
Invité4 février 2015 à 16 h 43 minJe ne vais pas reprendre tous les arguments qui ont déjà été fournis plus haut par mes collègues, mais je résumerais que la position « neutre » actuelle du CA ne repose pas sur des enjeux liés à l’identité professionnelle. À mon souvenir, l’aspect identitaire n’a pas été un sujet de discorde au CA, puisque nous sommes tous en faveur d’une identité forte et assumée, que ce soit dans le réseau privé ou public.
Notre position actuelle repose surtout sur des enjeux politiques et syndicaux, qui ne sont peut-être pas toujours apparents à première vue, mais qui sont d’une importance capitale pour une association. Comme membre du CA, je serais intrigué par l’opinion objective et impartiale d’un conseiller syndical sur plusieurs points. À titre d’exemple, quelle serait la force de pression d’un groupe aussi restreint que le nôtre sur un regroupement syndical (par ex. : APTS, FSSS) lors de futures demandes? Allons-nous nous retrouver avec de belles conditions de travail initiales, mais qui vont stagner dans l’avenir parce que notre groupe sera toujours ignoré, vu sa petitesse? Des gains hypothétiques chez les psychologues seront-ils toujours automatiquement appliqués aux neuropsychologues, puisque plusieurs d’entre nous, mais non pas la totalité, procèdent aussi à l’évaluation des troubles mentaux et à la psychothérapie? Dans la même veine, si on fait une distinction ferme entre les deux titres d’emplois, comment les gestionnaires gèreront-ils les postes et les tâches dans les centres de réadaptation ? Existe-t-il des exemples similaires au nôtre? Je n’ai pas les réponses à ces questions, mais si des réponses ont déjà été fournies, nous aimerions certainement les avoir pour en discuter au CA.
Concernant notre identité, les neuropsychologues ont d’ailleurs eu un des meilleurs deals avec le PL21 et qui permet déjà de consolider notre identité professionnelle : un acte réservé avec attestation et un titre réservé en conséquence. Transposer cet acquis dans la création d’un titre d’emploi dans la nomenclature du MSSS pourrait certainement être le but à atteindre. Moyennant l’assurance que ceux qui bénéficient de la prime ne la perdraient pas, que le salaire serait au moins aussi élevé, je pense que la grande majorité de nos membres seraient « pour » la création de ce titre d’emploi dans la nomenclature du MSSS. Mais le timing est important. Ce dossier progresse depuis au moins 5 ans. Est-il vraiment impératif d’agir maintenant plutôt que dans 2 mois, soit après les négociations entre les syndicats et le gouvernement? Si oui, pourquoi?
Pour la consultation auprès des membres, il s’agit effectivement d’une question très importante et il est très probable que nous les consultions par sondage ce printemps. Il faudra cependant les informer adéquatement au préalable. Consulter nos membres en AGA reviendrait à repousser cette décision à la fin septembre 2015 et j’aurais personnellement une certaine réticence à procéder de cette façon. Il faut aussi savoir que 100% des membres peuvent recevoir un sondage électronique, alors que seulement 20-25% des membres risquent d’être présents à l’AGA.
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Je n’ai eu aucune relance de ta part @/index.php?/profile/153-pascaledemers/” data-ipsHover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/153-pascaledemers/&do=hovercard” data-mentionid=”153″ rel=””>@pascale.demers depuis mon message de janvier dernier concernant la possibilité que tu viennes exposer ton dossier à l’un de nos CA de l’AQNP. Il est même possible d’envisager, au besoin, faire un sous-groupe de travail formel au sein de l’AQNP à ce propos.
J’avoue ne pas bien être au courant du niveau d’avancement de ce dossier. Il m’apparaît effectivement essentiel de consulter en exposant les avantages mais aussi les réserves exprimés par nos membres. Je vois aussi d’un bon œil l’idée de consulter un conseiller syndical sur la question en lien avec les éléments que @/index.php?/profile/144-genevieveprimeau/” data-ipsHover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/144-genevieveprimeau/&do=hovercard” data-mentionid=”144″ rel=””>@genevieve.primeau et Jean-Pierre Chartrand soulignaient à juste titre dans leurs messages.
L’absence d’un titre spécifique de neuropsy peut engendrer des situations parfois assez particulières. J’ai en tête un exemple de supplantation d’un neuropsy par un psy non formé en neuropsy car le poste à l’origine était décrit comme un poste de psy. Si on crée un titre de neuropsy que l’on souhaite, par exemple, appliquer à tout ceux qui occupent 100% de leur temps à des fonctions d’éval neuropsy, serait-il possible de perdre ces heures neuropsy dans la situation où un poste initialement affiché comme un poste de psy a évolué vers des fonctions de neuropsy au fil du temps? Possiblement que ceci demanderait une étape préalable de la part des neuropsys qui occupent ce type de poste pour faire concorder leurs fonctions actuelles à leur description de poste officielle pour éviter les mauvaises surprises…
Un titre de neuropsy amènerait fort probablement une clarification utile pour les nouveaux postes créés. Mais quels seraient les mécanismes d’application pour les neuropsys en poste depuis longtemps? Y aurait-il une flexibilité pour l’employé de décider lui-même s’il souhaite bénéficier ou non du titre de neuropsy selon le contexte de sa pratique?
En résumé, le CA de l’AQNP demeure ouvert à obtenir plus d’informations sur ce dossier et à tenir éventuellement une consultation des membres selon des modalités qui pourront être discutées. Malheureusement, nous n’avons juste pas le temps de prendre l’initiative de le faire cheminer. En ce sens, nous valorisons toujours l’implication de nos membres.
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Dans notre centre de réadaptation, tous les postes sont affichés pour psychologues, mais certains ont une exigence supplémentaire où l’appliquant doit posséder l’attestation d’évaluation des troubles neuropsychologiques.
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Je suis nouvellement représentante de secteur au centre de réadapt où je travaille (Constance-Lethbridge) et j’ai une réunion la semaine prochaine avec les représentants de l’APTS. J’aurais aimé leur soumettre la question du titre d’emploi de neuropsychologues, ou du moins le document dont il est mention dans les échanges précédents. Est-il toujours accessible et à jour? Merci de m’informer sur l’évolution de ce dossier s’il y en a!
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Anonyme
Invité19 octobre 2016 à 16 h 22 minDu côté de l’AQNP, il n’y a pas eu de changement ou de développement sur le sujet. Nous demeurons cependant toujours ouverts à recevoir des propositions ou demandes de collaboration, qui pourront être soumises au CA. Pour avoir une copie du document discuté dans les échanges précédents il faudrait contacter @/index.php?/profile/153-pascaledemers/” data-ipsHover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/153-pascaledemers/&do=hovercard” data-mentionid=”153″ rel=””>@pascale.demers.
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Il semble que certains milieux ont commencé à créer le titre d’emploi de neuropsychologue. C’est mon titre d’emploi officiel dans le poste que j’ai depuis septembre dernier. Je semble toutefois considérée comme une psychologue pour le moment, mais j’avoue me questionner sur les impacts possibles au plan syndical. A votre connaissance, est-ce que d’autres milieux ont emboîté le pas?
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Quand tu dis que c’est ton “titre d’emploi officiel” @/index.php?/profile/154-catherineethier-majcher/” data-ipshover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/154-catherineethier-majcher/&do=hovercard” data-mentionid=”154″ rel=””>@catherine.ethier-majcher, veux-tu dire que c’est ce qui est écrit dans ton contrat de travail ?
Pcq de mon côté c’est écrit neuropsychologue sur ma carte d’employé, dans ma signature de email, etc, et tout le monde me considère comme un neuropsy au CHUM, et puis je dois avoir l’attestation pour pratiquer ici, etc… mais mon titre d’emploi est psychologue.
Selon cette liste (p-e pas à jour, faut voir), le titre d’emploi n’existe toujours pas au MSSS.
Bref, ce “titre d’emploi officiel” est-il vraiment… 100% officiel ?
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@/index.php?/profile/154-catherineethier-majcher/” data-ipsHover-target=”https://aqnp.ca/forum/index.php?/profile/154-catherineethier-majcher/&do=hovercard” data-mentionid=”154″ rel=””>@catherine.ethier-majcher Il est possible que la description de ton poste à l’embauche soit neuropsy, ce qui risque d’aider à minimiser les risques reliés à la supplantation par un poste de psy qui ne rencontrerait pas les compétences de ta description de poste. Moi aussi ma description de poste est neuropsy et c’est indiqué neuropsy sur la porte de mon bureau et sur ma carte d’ID. Toutefois, un titre de neuropsy implique une échelle salariale dédiée, ce qui n’est toujours pas le cas.
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Les 2 Simon qui écrivent en même temps
Après vérification, c’est effectivement une fausse alerte, désolée. Le titre “neuropsychologue” est celui qui apparaît sur mon contrat d’embauche, mais il est accompagné d’un numéro de titre qui correspond au psychologue. Je reste donc probablement “psychologue” dans le système.
De mon côté, mon titre d’emploi est psychologue et c’est aussi ce qui est inscrit sur ma carte d’employé (et impossible de le faire changer pour neuropsychologue, car le ”titre n’existe pas dans le réseau” !!).
Mais pour avoir travaillé dans quelques milieux hospitaliers, l’appellation sur la carte d’employé semble varier selon le milieu ! J’ai ”été” psychologue, spécialiste du comportement humain/psy et neuropsychologue !
Anonyme
Invité16 février 2017 à 19 h 30 minComme vous dites, il n’y a pas de titre d’emploi de “neuropsychologue”, peu importe ce qu’on inscrit sur votre contrat de travail, carte d’employé, etc.
Pour éviter la supplantation, c’est une description de tâches avec des critères spécifiques qui est requise, c’est-à-dire un affichage pour le titre de psychologue avec le critère “doit détenir l’attestation pour l’évaluation des troubles neuropsychologiques”. Et la description doit être faite au moment de l’affichage du poste. De cette façon, un ou une psychologue plus ancien dont le poste est coupé ne pourrait pas supplanter un poste de “neuropsychologue”, parce qu’il y a des critères précis qui doivent être respectés.
À l’inverse, si vous êtes engagé(e) comme “neuropsychologue” mais que le critère de l’attestation est omise dans la description, vous pourriez être supplanté par n’importe quel psychologue, et votre supérieur(e) aurait même le droit de vous demander du jour au lendemain de laisser tomber les évaluations neuropsychologiques et de faire des suivis et de l’intervention! Cette information m’a été confirmée par notre conseiller syndical.
Réactualisation du dossier du titre de neuropsychologue. Si certaines personnes bien pluguées sur mon monde syndical ont des informations récentes sur le dossier du titre de neuropsychologue, merci de bien vouloir nous les partager. Il semble que certains syndicats ont inclus cette demande dans les négos en cours.
Par ailleurs, si jamais certaines personnes ont des exemples concrets de conséquences négatives reliées à l’absence de titre de neuropsy dans le réseau, n’hésitez pas à nous le partager également. Vous pouvez également m’écrire en privé si la situation exige une plus grande confidentialité.
Bonjour, du côté de l’IUSMM (CIUSSS de l’Est-de-l’île-de-Montréal – syndicat SCFP), le dossier avait été relancé en février, avant le pandémie. Cela a été mis sur la glace depuis…
Je dois relancer ce dossier auprès des neuropsychologues de l’IUSMM (je dois trouver le temps de retaper un document d’une vingtaine de pages qui n’est disponible qu’en format papier..). Nous devons actualiser le document d’information qui avait été produit par les neuropsychologues de HMR il y a plusieurs années, en y insérant les aspects plus spécifiques en lien avec notre clientèle à l’IUSMM (Demande de création d’un nouveau titre d’emploi à la nomenclature des titres d’emploi, des libellés des taux et des échelles de salaire du réseau de la santé et des services sociaux – https://www.cpnsss.gouv.qc.ca/index.php?titres-demploi-salaires-et-primes#:~:text=Un Employeur ou un Syndicat,transmise à l’autre partie.)
Une fois ce document complété, nous devons le transmettre à un comité syndical qui doit étudier le bien-fondé de la demande, à savoir si cela vaut la peine où non de demander un nouveau titre d’emploi (on nous disait notamment qu’il fallait qu’il y ait suffisamment de différence entre les différents titres d’emploi pour voir si cela pouvait valoir la peine…).
Je ne crois pas que cette demande a été incluse dans la négociations en cours de la part de notre syndicat.
Est-ce que d’autres milieux ont également lancé le processus?