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  • Suivi d’une dérivation ventriculo-péritonéale

    Posted by Caroline Larocque on 28 mai 2014 à 18 h 53 min

    Bonjour,

     

    J’évalue une dame qui a une dérivation ventriculo-péritonéale depuis 2004 suite à une carcinomatose méningée pour laquelle elle a été traitée entre autres avec radiothérapie et chimiothérapie. Elle a été évaluée en neuropsychologie en 2008 et on retrouvait de très légères difficultés des focntions exécutives. Je l’évalue présentement afin de déterminer s’il y a une évolution depuis 2008 car madame se plaint de troubles de mémoire. Je remarque effectivement une accentuation des troubles de mémoire, principalement des difficultés de récupération. À votre connaissance, une personne qui a une telle dérivation ne devrait-elle pas avoir un certain suivi soit en neurochirurgie ou à tout le moins avec des résonances magnétiques récurrentes (la dernière a été faite en 2008)? Cette dame ne semblait même pas savoir qu’elle avait une dérivation et aucun suivi n’a été fait…

    Genevieve Primeau répondu Il y a 9 années, 4 mois 2 Membres · 1 Réponse
  • 1 Réponse
  • Genevieve Primeau

    Membre
    30 mai 2014 à 0 h 00 min

    Après une rencontre post-op en neurochirurgie, je m’attendrais à un suivi en neurologie (espacé si tout va bien). De moins, il me semble que c’est ce que je constate habituellement. Quand la condition est stable sur plusieurs années, les neurologues cessent parfois leur suivi, tout en restant disponibles ‘au besoin’ i.e. si le médecin de famille les relance. Dans le contexte d’une progression subjective des plaintes cognitives, je suis pas mal certaine que le neurologue reprendrait l’IRM.